Où en est-on après cette longue pause (pardon, j'arrivais pas à m'y mettre) ? House n'a toujours pas retrouvé sa licence et elle n'a pas l'air de lui manquer plus que ça, Foreman est toujours chef honoris causa et il semble s'être fait à cette idée, 13 et Taub sont toujours dans la nature et Dibala (le dictateur que Chase a tué) est toujours mort mais on demande à Foreman de justifier les choix médicaux de son équipe.
Je vous avouerai qu'à la première vision, cet épisode ne m'a pas spécialement plu. Je l'ai d'abord trouvé un peu mou, voire chiant, mais à la huitième vision (c'est ce qui arrive quand on met trois mois avant de se décider à finir son pavé !), il passe beaucoup mieux et j'ai même un truc très positif à dire : enfin le cas revient au centre de l'épisode. Mieux, House s'y intéresse sérieusement ! Ca fait du bien un épisode « l'ancienne » (avec l'ancienne équipe en plus).
Comme pour l'épisode précédent, je ne vais me concentrer que sur House. Trois point m'ont particulièrement intéressés (et oui, je mets des mois à trouver un axe et c'est pour vous sortir trois petits points comme dans une argumentation pour l'école) : le leadership de House, son implication dans le 14 (le retour) et la question divine (le retour bis).
House préfère-t-il vraiment les énigmes au pouvoir comme il l'affirme à Cuddy ou, comme celle-ci le lui assène (et ça qui a l'air de le laisser perplexe), aime-t-il les deux ? J'aurai tendance à dire qu'il aime plus les énigmes que le pouvoir, mais qu'il aime les deux, effectivement. Ca l'arrange bien de laisser à Foreman la paperasse et les tapes sur les doigts, mais il aime être celui qui dirige les débats (tout en marquant sa satisfaction quand le jeune Eric sort un truc pertinent, c'est nouveau ça).

Ce qui me paraît évident pour l'instant, c'est qu'il aime sa raison et qu'il n'est toujours pas sûr de l'avoir retrouvée complètement. Au début de l'épisode, quand Cuddy apporte à contre cœur le cas de ce jeune garçon dont le milliardaire de père voulait House à tous prix pour le soigner « à moins qu'il soit mort, dans le coma ou fou », il lui répond qu'elle aurait pu dire non tout en ayant bonne conscience. Je pense qu'il était sérieux, il se croit encore certainement un peu « fou »...
Chase a raison (comme souvent) quand il « remercie » House de son coup de main discret pour l'enquête sur la mort de Dibala : qu'il le veuille ou non, c'est lui le responsable du service. De plus, le blondinet le lui dit en lui lançant la baballe géante qui reposait sur le bureau. La même baballe que House fixe pensivement, seul dans son bureau, depuis son fauteuil. S'il accepte de reprendre la baballe symbole de son leadership, il accepte de reprendre ses responsabilités de chef et donc, il reconnaît penser être de nouveau sain d'esprit. Il l'a reposée quand Chase l'a lui a donnée, quand va-t-il oser la reprendre ?

Je vais certainement un peu loin dans l'image là mais, dans le fond, House est un peu le « papa » de ses larbins. En effet, il a beau être souvent dur avec eux, c'est pour les faire avancer (je ne m'étalerai pas sur ce point, n'ayez pas peur) et il veille sur eux sans qu'ils ne s'en rendent compte (pas peur, je ne ferai pas de liste non plus).
Commentaires
1 Nemie Le 21/02/2010
2 Nathalie Le 17/10/2018
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Cordialement
Nathalie L